Bon, comme je trouvais ça un peu triste de finir sur ces au revoir sanglants (mort de Lulu tout ça...) me revoilà avec un petit OS tout mignon tout con !

 *à croire que les fujoshi aime bien les trucs qui termines en "on"*

Bref, je vous laisse mon petit Odd et mon petit Ritsu entre vos mains ! ^^

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cet après-midi là j'avais décider de passé au boulot de mon petit ami temporaire, Shin.

Je dis bien «temporaire» car je ne compte en aucun cas finir mes jours en compagnie de ce mec, bien qu'il sois très bon au lit et de plus tout à fait mon genre.

C'est comme ça depuis la terminal...J'enchaîne les aventures avec des hommes tous plus vieux les uns que les autres pour réussir à trouver mon bonheur. J'ai bien conscience que ce n'est en rien un accomplissement et en plus de cela très désagréable pour tous ces hommes mais je suis comme ça.

Je vais avoir 21 ans demain et je n'ai toujours pas connu l'amour.

Mais bon, je pense que cette fois si est la bonne.

Shin et moi avons tous les deux des goûts semblables, il n'a que 5 ans de plus et il semble très attaché à moi.

J'entre dans les bureaux et commence à le chercher du regard lorsque je le vois en compagnie d'une jeune femme.

Il semble l'embrasser passionnément, ce qui me déplaît fortement.

J'ai l'impression que mon cœur va s'arrêter.

Je croise son regard bleu gris avant de me précipiter vers eux et lui mettre une énorme gifle.

• Vieux connard.

Mon amant me regarde, désemparé, avec cette expression sur le visage qui exprime un étonnement puissant mêlé à une grande confusion.

Un petit sourire narquois et satisfait s'affiche sur mon visage lorsque je ressort de l'établissement.

De toutes manières ça ne pouvais pas durer...C'est toujours comme ça.

Et c'est peut être mieux que les choses ce déroules de cette façons.

Je ne suis peut être pas fait pour aimer après tout.

Je rentre dans mon petit appartement que je partage avec mon meilleur ami, Ritsu.

Je soupir puis m'empresse de monter dans ma chambre en claquant la porte.

Ritsu vois bien que je suis en rogne et décide finalement de toquer à ma porte quelques minutes plus tard.

• Odd ?

Je reste muet, j'ai juste tout sauf envie de lui parler.

Ça ne dois pas être simple pour lui...

Il écoute tous mes problèmes de cœur et trouve toujours les mots pour me consoler en prenant le temps de m'écouter.

Je me demande vraiment pourquoi il s'embête pour moi.

• Lâche moi.

• Masamune...

Lorsqu'il murmure à demi mon prénom comme ça je n'arrive pas à lui résister.

• Bon, Entre...

Ritsu entre dans la petite chambre et s’assoit sur le rebord de mon lit comme à son habitude.

• Que ce qu'il ce passe ? Tu t'es disputer avec ton copain ?

Que ce qu'il peux être lucide parfois.

• Ouais...

• Que c'est il passé ?

Il pose sa main sur ma cuisse et me regarde avec ces magnifiques yeux verts.

Je rougis légèrement puis soupir de plus belle.

• Ce connard m'a trompé...Et avec une femme en plus !

Mon coloc' prend un air désolé et me tend une place de concert.

• Je compatit...ça te dis une petite sortie entre mecs pour oublier tout ça ?

Comment fait il pour être toujours aussi positif dans toutes les situations ?

Je me demande si il a déjà vécu ce que je vis actuellement d'ailleurs.

Comment ais je rencontrer Ritsu ?

J'ai l'impression de l'avoir toujours connu...

 

Masamune étais mon senpai au lycée.

Nous sommes sortis ensembles durant 3 mois, mais je pense qu'il ne s'en souviens plus...

J'avais finit par rompre pour des raisons personnelles, il m'en à voulut pendant très longtemps mais avais fini par me pardonner.

Je suis petit, chétif, j'ai une peau trop pâle, des yeux trop gros, et des cheveux beaucoup trop longs.

Je ne suis pas son genre du tout, lui préfère les hommes matures et intelligents déjà dans la vie active et avec une musculature proportionnelle à leur compte en banque.

Moi je ne suis qu'un petit étudiant inutile qui ne fait attention à rien, et en plus à pars les jeux vidéos nous n'avons presque rien en commun.

Je suis un otaku, lui déteste ça...Bref, ce mec n'a rien à voir avec moi.

Pourtant, je n'arrive pas à me détacher de lui.

Alors je me contente d'être son meilleur ami, son colocataire, dormir chaque jour à quelques mètres de lui est une vrai torture.

Mais je reste, car sans lui, je suis paumé, seul, j'ai le cœur en miettes.

Je me souviens encore de nos années de lycée...Mais je crois qu'il les as oubliées.

 

Ah ! C'est vrai que j'ai connu l'amour un jour...

Nous étions sortis ensembles il y a maintenant quelques années...

Il étais mon Kohai d'un ans et avais la manie étrange de me suivre partout dans les couloirs du lycée.

Au départ ça me faisait chier, mais j'ai appris à connaître sa petite bouille et sa présence est devenue très plaisante.

Je ne me souviens plus de son prénom...Mais je me souviens vraiment de l'amour que j'ai put lui porter.

Il a commencer à manger avec en ma compagnie tous les midis, et surtout il rentrais tous les jours avec moi alors qu'il habitais tout à fait à l'opposé de chez moi.

Un soir il m'avais raccompagné comme d'habitude, mais ce soir là il neigeait.

Je m'en souviens encore comme si c'était hier.

Nous étions tous les deux et j'avais pris la liberté de lui prendre sa petite main discrètement.

Il avais rougit en cachant son visage comme à son habitude et c’était arrêter net.

• S...Senpai ?

J'ai pris sa main et l'ai déposée délicatement sur ma joue...

Il à rapprocher ses lèvres des miennes, je les ai effleurées puis je l'ai embrasser.

Un baiser dont je me souviendrais sans doutes toute ma vie.

Il a sourit avec ce jolie sourire qui voulais tout dire et à intensifier notre baiser en mettant ses mains sur mes fesses.

Je me suis collé à lui et j'ai déposé un baiser sur le bout de son nez.

• Je t'aime...

J'ai un trou. Quel étais son nom putain ???

Je regarde Ritsu qui à l'air bien pensif puis...

Ritsu ?

«Senpai»...

• ...Ritsu ?

• O..Oui ?

Attendez...Mais pourtant...Le mec m'avais quitté alors...

Mais oui...Je n'ai jamais sut pourquoi...

• Pourquoi...M'as tu quitté il y a 3 ans ?

Mon adorable meilleur ami ce met à rougir violemment puis baisse la tête tout gêné.

• Oh...Je en fait...Mes parents...On appris...Que j'étais...Homosexuel...

 

Merde...Ma voix tremble..ça craint.

Effectivement l'année de notre rencontre moi et Odd mes vieux on appris ma sexualité et m'ont rejeté directement.

Mon père à même menacer de mort ce dernier, étant sûr qu'il m'avais influencer.

Car il faut dire que Masamune à toujours pleinement assumer son orientation.

Puis lui au moins ses parents n’ont pas de problèmes avec ça.

Ma respiration s'emballe, et si Odd c'était rendu compte de mes sentiments...

Non...Je ne veux pas me prendre de râteau...Je ne le supporterais pas...

Je ferme les yeux et me recroqueville en rougissant..

 

Ritsu...Comme tu peux être mignon.

 

Odd...Ne m’abandonne pas...

 

Je...

 

Je...

 

T'aime.

 

Odd prend possession de mes lèvres et dépose un doux baiser dessus.

Je rougis de plus belle et enroule mes bras autour de son cou.

• Suki da...

Je rougit puis l'embrasse sur la joue.

• Moi aussi Masamune...

Ce soir là nous nous sommes endormis l'un contre l'autre...Enfin nous n'avons pas fait que dormir.

Ce que nous avons fait est juste indescriptible, tellement indescriptible qu'il faudrait réinventer des mots pour pouvoir le décrire.

J'ai ressenti un milliards de sensation différentes en quelques minutes seulement.

En tout cas,

demain j'ai 21 ans et je suis enfin tomber amoureux pour la deuxième fois.

 

End ♥

 

Comme vous avez put le voir Need est à présent terminé ^^

Cette petite fiction va me manquer décidemment...Bref, merci de m'avoir lue ! ♥3♥

J'espère que ça vous auras plût, voici la fin de la saison II * ^ *

Oui j'ai eût l'impression de tout écrire en 2 jours...XD

Et oui j'ai conscience que personne ne me lit, mais bon, je l'aime cette fiction x)

Enjoy !

 

 

Je pense que chacun à sa conception du verbe «aimer».

Je ne sais pas vraiment quel es la mienne, en tout cas, un horrible sentiment de remords me ronge depuis que j'ai rompus avec Hiroki, je suis triste, triste car le garçon que j'ai connu et aimer me manque, bien que je sais que ce garçon n’existe plus.

Le Hiroki que j'aimais es réellement mort il y a 2 ans.

Ne devrais je pas être soulagé ?

Pourtant...J'ai l'impression que cet homme pourrais revenir, qu'on pourrais tout recommencer, qu'il changerais et redeviendrais comme avant...

Seulement, tout ça n'est qu'illusion, et je suis amoureux de Shin désormais.

Je suis dingue de ce mec, et pourtant, les remords persistent, et je continu à penser que je lui es fait du mal.

 

Mon amour es mort mais mon esprit ce tourmente, car je suis moi, le parano qui ne crois en rien, le pessimiste, le nostalgique, Moi.

Je suis dépressif.

 

Shin et Savy me retrouve devants chez moi ce matin, nous allons au ciné et sortir boire un verre, rien de spécial pour un mec de 21 ans me direz vous...

Enfin, pas pour un mec de 21 piges qui ne sors pratiquement plus de chez lui.

Je me lève de mon lit dont le bordel est proportionnel à celui qui ce passe dans ma vie en ce moment même.

Je saisit au hasards un T-shirt et un pantalon noir dans mon dressing, prend un anti dépresseur, passe de l'eau sur mon visage de mort-vivant et me regarde dans la glace.

• …

Je retire vite mon haut et comprends quelque minute les filles galérant avec leur fringues.

Mais que ce que je fout..

Inconsciemment je veux plaire à Shin...

Houla, je fait vraiment n'importe quoi.

Je fini par choisir mon T-shirt «Robot Boy» (mon préféré) et un pantalon noir muni d'une chaîne en argent pendant sur le coté.

J'enfile un sweat gris et remet bien ma boucle d'oreille.

Tout ce que je veux maintenant, c'est que cette satané boule au ventre disparaisse...

Je reçoit un texto de Savy m'expliquant que je suis au retard avec une finesse et une gentillesse infinie.

Je me fait accueillir par une tape sur le crâne de cette dernière.

• Tu sais lire l'heure imbécile,

  On avais dit 10h15!

• Ouais ouais ça va!!

Shin lâche un petit rire puis dépose un baiser sur mon front.

• Tu es mon imbécile...

C'est lui le débile qui me fait rougir devant tous le monde..

Je soupir puis l'embrasse doucement, quand je suis avec Shin, ce sentiment de culpabilité disparaît.

Nous commençons à marcher vers le cinéma lorsque Shin glisse sa main dans ma poche arrière.

Je frémis avant de lui retirer doucement, on ne vas pas nous exposer quand même.

• Bah alors, je pensais que tu t'assumais Takagi...

Dit il en riant et collant son front au miens.

Je rougis puis soupira de plus belle.

• Tu es vraiment têtu...

Nous arrivons devant le bâtiment, je sert la main de Shin, je déteste la foule.

Je ne me souviens pas du titre du film, ni même des acteurs qui y jouais...

Tous ce que je sais, c'est que l'épaule de Shin es très confortable pour dormir.

 

La culpabilité es comme une éclipse, elle viens cacher le soleil qui approchais pour nous mettre dans l'ombre, nous dissuader de la vérité et de nos réels sentiments.

Elle nous ronge de l'intérieur et crée même cette insupportable impression d'être cloué au sol alors que nous possédons de grandes et magnifiques ailes toute neuves.

Elle nous retire notre fierté et fini par détruire nos ailes.

Pour survivre à cet ouragan de doutes, il suffit d'avoir des ailes plus solides que celle de notre passé.

Pour consolider ses ailes, il faut s'entraîner à les perdre.

C'est parfois en doutant que l'on apprend que les éclipses ne sont que passagères, et qu'un être aimé et qui aime y survit.

Encore faut il vaincre cette montagne de doutes.

Encore faut il décimer ses insomnies qui nous ronges.

Ou encore faut il certaines fois...S'y laisser allez.

Certains dirons que c'est l'adolescence, je leur dit juste...

C'est la vie.

 

Je me réveille en sueur dans la nuit, Yoichi me serre contre lui, je gémit puis me dégage de ses bras avant de me diriger dans ma salle de bain.

Je rince mon visage puis me regarde 10 bonne minutes dans la glace.

Mes cheveux ont poussés..

Mes cernes s’agrandissent de jour en jour, mes yeux sont éteints de toutes joie de vivre, mon être tout entiers veux hurler.

Ce sentiment m'étouffe, cette boule au ventre m'étouffe, cette tristesse m'étouffe, la seule chose qui me permet de tout oublier est Shin et il va crever.

Je ne sais pas si le destin existe, mais si il ce matérialisais devant moi, je pense que je lui péterais les dents.

Je ne me suis jamais mutilé, même durant ma dépression, je déteste cette conception des choses, «je suis dans la merde alors je m'y enfonce encore plus car de toutes façons j'en sortirais jamais».

Je suis extrêmement pessimiste, et pourtant, je n'ai jamais songé que je ne me sortirais jamais de mes problèmes, je pense juste que quand il s'en irons, d'autres viendrons et ma stupide vie dureras comme ça éternellement.

Les doutes ressurgissent une milliseconde.

Cette milliseconde aurais pût tout changer, ce micro instant de doutes..

Aurais pût me sauver la vie.

Je saisit la boite à Pharmacie sur l'étagère, puis choisit un somnifère.

Je prend un verre et respire un bon coup avant de le remplir de bière.

Après un regards jeté sur mes écouteurs sur ma table de chevet, je décide de les prendre eux aussi.

Je saisit une feuille de papier et gribouille une inscription dessus.

J'empoigne le verre d'alcool et met le somnifère dedans.

Mon cœur n'a jamais battu aussi vite, pourtant je respire lentement et semble détendu.

Mes écouteurs dans les oreilles,

J'avale le mélange empoisonné qui coule dans ma gorge en me brûlant légèrement,

puis je m'allonge sur le canapé, ma respiration ce fait de plus en plus douloureuse.

 

I found god, on a corner 1^st then Amistad...

When the west...Was all but won.

All alone...Smockin' his last cigarette...

I said, « Where've you been ?», he said ask anything...*

 

Ma vue ce trouble, mes membres me semble de plus en plus lourds et ma respiration me fait mal.

 

Where were you...Then everything was falling apart...

All my days, were spent by telephone...

I never rang,and all i needed was a call,

That never came, to the corner 1^st and Amistad...**

 

Mon pouls ralentit, des larmes ce mettent à couler sur mon visage,

je ressens enfin quelque chose.

Je ne peux m'empêcher de gémir, me tortiller, des spasmes ce mettent à surgir.

J'ai mal, trop mal.

Je vais mourir maintenant, ici ?

De toutes façon, tous ça n'as plus d'importance...

Je me demande ce que diras Shin lorsqu'on retrouveras mon corps...

 

Lost and insecure, you found me, you found me...

Lying on the floor...

Surrounded, surrounded...

Why'd you have to wait ?

Where were you, where were you...

Just a little late, you found me, you found me...***

 

La lumière de joie dans mes yeux c'est éteinte il y a bien longtemps, aujourd'hui, ce qui es sûr, c'est qu'elle n'y reviendras plus jamais.

1. J'ai trouvé Dieu (métaphore certainement pour parler de la femme ou de l'homme qu'il aime, comparable à un Dieu pour lui) sur la premier avenue d'Amistad...

   Quand l'ouest étais tout sauf gagné (il explique qu'il es perdu et ne retrouve plus ses directions, car sa boussole étais la personne qu'il aimais et que depuis leur rupture il ne retrouve plus sont chemin)

   Il étais seul, fumant sa dernière cigarette...

   Je lui es dit «d'où viens tu ?»

   Il m'a dit «Ne demande rien..»

2. Où était tu lorsque tout tombais en morceaux (il s'adresse cette fois si réellement à la personne qu'il aime sans la déifiée, car il lui fait des reproches)

   Tous ses jours pendu au téléphone (le verbe «pendu» peux avoir deux sens dans le cadre de cette phrase, il peux signifier que l'interlocuteur ne répondais pas aux appels mais que le chanteur continuais de l'appeler sans cesse, ou encore qu'il y étais pendu dans le sens ou ces «non réponses» le tuais à petit feu, la phrase peut aussi faire référence a leurs passé ou ils s’appelait souvent aux téléphone et le protagoniste regrette ces moment de bonheur)

   Il n'a jamais sonné, et tout ce dont j'avais besoin étais un appel

   Il n'est jamais venu, au coin de la 1ère d'Amistad

3. Perdu et sans défenses, tu m'as trouvé, tu m'as trouvé...

   (ont peux supposer que la chanson parle d'un couple qui ce remettes ensembles après de longue années d'absence d'un des deux personnages où alors tout simplement d'un homme attendant l'amour et finissant par le trouver mais seulement trop tard, lorsqu'il es à bout, et ne peu finalement pas en profiter ce qui es un peu le cas de Luka et qui es plus probable étend donné que le chanteur dit «trouvé» et pas retrouvé ^^)

   étendu sur le sol, encerclé, encerclé...

   Pourquoi as tu attendus?

   Où étais tu, où étais tu...

   Juste un peu trop tard.

   Tu m'as trouvé, tu m'as trouvé...

The Fray

 

Bonne lecture ^^

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cette forêt...

Elle es de plus en plus profonde.

Les ronces ce font de plus en plus grande, leurs épines de plus en plus épaisses.

Mon cœur bat tellement vite que je pense qu'il pourrais me lâcher à tout moments.

Je cours...Mais désormais, je sais après quoi.

 

07:09

Mon réveil sonne à m'en péter les oreilles, je saisit quelques fringues en pagailles sur ma table de chevet avant de me lever et d'avancer en titubant jusqu'à la cuisine.

J'avale un morceau de pain en vitesse puis prend vite ma veste et mon sac.

Je sent que cette journée seras aussi banale que toutes les autres...

Après la mésaventure de l’hôpital que j'ai vécu avec Shin, ma mère a reçut une lettre stipulant une plainte de l'établissement.

Je suis donc privé de sortie...

J'arrive devant les immenses grilles du lycée que je n'avais pas vu depuis si longtemps.

A cause de ma dépression je ne me rendais plus en cours, ce qui ne présage rien de bon pour le bac à la fin de l'année d'ailleurs...

De plus, je suis dans la même classe qu'Hiroki, et c'est ce qui me rend mort de trouille.

Je ne tient pas du tout à le recroiser, ce serais tellement insensé, étrange...

Puis je ne pourrais plus jamais l'aimer, il m'a mentit, abandonner.

Comment est ce possible qu'il sois en vie d'ailleurs, il a intérêt à me donner des explications, et des bonnes.

Je rentre dans ce bâtiment qui es pour moi synonyme de prison, de plus que je n'ai rattraper que la moitié des cours.

La sonnerie retentit, je me précipite à ma place habituelle, celle juste à coté de la fenêtre, où je peux rêver et vaguer à mes occupations, comme dessiner dans la buée de la vitre car le cours es la chose la moins intéressante qui sois a mes yeux.

Je dépose doucement mon sac à dos puis sors une feuille quadrillée et un crayon de couleur bleu, j'esquisse sur le papier le visage de Shin, je songe souvent à ce dernier en ce moment...

Un garçon que je connaît très bien prend place à coté de moi, la personne que je redoutait le plus.

• Lulu ?

La voix d'Hiroki es toujours aussi douce et posée.

• Je pense que je te dois des explications...Hum...

Il ce gratte le bras comme il à l'habitude de le faire lorsqu'il es stressé.

• Luka, je n'ai jamais étais mort.

L’intercours ce fait long. Très long.

Je me fiche de ses stupides explications, je suis sût qu'il va me mentir...Je voudrais juste devenir invisible.

• écoute moi, je te connais, je sais quand tu fais ta tête de mule...

  La personne qui t'a appeler ce soir là...Il y a eût une erreur dans les registres, et j'ai été identifier comme le cadavre, seulement, ce n'étais pas moi mais un homme portant le même nom.

  Je ne voulais pas allez te voir plus tôt car..j'avais peur...

  De plus après le coup que je t'avais fait avec Lyu je..

• Et ça justifie des mois et des mois d'absence.

• ...Luka...

• Où tu étais pendant tout ce temps.

• Luka, écoute je..

Je ne le laissais même pas terminer sa phrase que je me déplaçais au premier rang.

Je n'ai aucune envie de discuter avec lui, je suis juste agacer qu'il m'es mentit.

Le cours débute enfin, après des montagnes de choses à noter (du moins d'après la copie de mon voisin, pour ma part ma feuille es restée blanche), je sors de la salle.

J'avais oublier à quel point les journées de travail étais épuisantes et les cours inintéressants..

Je profite des 5 min avant le prochain cours pour envoyer un sms à Shin, si je pouvais je donnerais tout pour le rejoindre.

 

Que ce qu'il m'arrive ?

 

Les cours prennent fin à 18h10, je n'ai jamais vécut une journée aussi longue et désagréable.

Je passe devant un terrain de basket en rentrant, avant de remarquer étrangement l'un des joueurs.

Shin ?!

Le fameux joueur boit dans une petite bouteille d'eau, son maillot colle à son torse parfaitement musclé.

Je sent une chaleur qui m'étais inconnue monter en moi, sérieux, j'ai rien d'autre à faire que de mater l'ex de Lyu ?

Le beau basketteur retire alors son haut et laisse apparaître de magnifiques abdominaux.

Ce mec..es magnifique.

Je prie pour qu'il ne me remarque pas, il risque de me trouver vraiment ridicule.

Mais pourtant, je n'arrive pas à détacher mon regards de son visage fin orné de deux superbes yeux lavandes.

Ce qui devais arriver arrivas, et Shin finis par me remarquer.

Un sourire félins et terriblement sexy ce dessine alors sur son visage, je veux mourir, je fantasme comme une fangirl devant un beau mec d'anime.

Ma seule réaction et de bafouiller un «salut» puis de m'enfuir en courant, au-se-cours.

 

Je fait un petit détour avant de rentrer chez moi, ma mère es un peu stupide de me priver de sortie alors que j'ai 21 ans.

Je tombe sur un petit parc rempli de magnifiques cerisiers japonais, sous un des arbres ce trouve un petit banc en bois, l'endroit parfait pour un premier baiser.

En y songeant,mes premiers baiser n'ont jamais été très romantiques d'ailleurs...

Je soupir puis m’apprête a ressortir du jardin pour évitez tous détours inutiles car il commence à ce faire tard lorsque je croise un visage qui m'es plutôt familier.

 

Ho non pas lui.

 

Je pensais m'éclipser vite et oublier d'avoir croiser la personne que je déteste le plus au monde lorsque je m'aperçois qu'une autre personne es avec elle.

Les deux amoureux s’assoit sur le banc et ce mettent a ce bécoter.

 

C'est...Impossible...

 

Hiroki étais bel et bien tomber amoureux de mon frère.

Hiro...Me trompais.

Ce qu'il m'as fait es dégueulasse, mais ce qui es encore plus dégueulasse, c'est de ne pas arriver à l'admettre.

Il me parlait de faire notre vie ensembles, de voyager, d'adoption...

Même si je sais que je ne pensais ne plus rien ressentir je sent pourtant une immense amertume en travers de ma gorge et une inexplicable envie de pleurer.

Mais je ne m'abaisserais pas a pleurer pour un mec qui m'a lâchement abandonner, je n'en peux plus d'être une victime, oui je déteste une bonne partie des gens autour de moi, oui je pleure tous les soirs sans même savoir pourquoi, oui je suis probablement le plus grand imbécile que ce monde es connu a me lamenter tout le temps mais...

 

Je ne suis pas une victime.

 

• Hey toi là !

Lançais-je à mon «petit ami» en me relevant de ma cachette, la boule au ventre.

Hiroki tourne la tête vers moi puis sursaute, pris en flagrant délit.

• Oui, toi qui m'a pourri la vie, rabaisser, puis aimer, aduler, manqué, fait souffrir !

  Je t'aimais tu sais ?

  Tu étais vraiment tout pour moi, tu étais tout Hiroki Shitara tu m'entends ?!

J'hurle si fort que tous les enfants du parc ce sont arrêter de jouer, tous les amoureux ont cesser de s'embrasser et tous les parents de surveiller leur progéniture, même les fameux basketteurs sur le terrain juste à coté du square ce sont arrêter net.

Tous les regards étais braqués sur moi et ma stupide vie.

• Mais tu as tout gâcher, et tu sais quoi, maintenant que j'ai toute l'attention je vais te le dire, va te faire foutre !

  Vous tous là, vous et votre haine de la différence, j'aime les hommes, je m'assume, pourquoi je me fais insulter au lycée, pourquoi je me fait rejeter quand je vais porter plaine, pourquoi ?!!

  La prochaine fois que vous vous foutez de la gueule d'un PD, pensez que ce « PD » es juste quelqu'un d'amoureux !!

Shin a accourus vers moi et m'a fait sortir avant que je ne débite d'autre insultes plus vulgaires les une que les autres, tous ce dont je me souviens es le visage dépiter d'Hiroki, ce visage que désormais je haïssais au plus au point.

J'avais aussi pris le temps de regarder Shin lorsque je criais, il souriait, lui il savais que ça me faisait du bien, lui, il me comprenais.

Ce dernier m'a fait boire un coup d'eau pour me calmer.

• Alors là, bravo !

• Shin..

• Oui ?

  Doucement...

  Ah et en fait, tient...

Il me tend alors un sac en plastique contenant certainement un cadeau.

Un...Bavoir ?!

• C'est pour que t'évite de baver la prochaine fois que tu me verras torse nu...

• Tu sais que tu es un imbécile.

Je lui balance de l'eau avec la bouteille et fait démarrer une bataille d'eau endiabler, je finis complètement tremper, pour une fois qu'il fait beau.

Nos éclats de rire résonne dans toute la petite rue dans laquelle nous nous trouvons, heureusement qu'il y a peu de passage.

Shin fini par m'enlacer puis sourit, je frémis un peu surpris.

• Luka ?

• Oui...?

• La dernière fois quand tu m'as croiser à l'hosto...

• O...Ouais..?

• Je suis malade...

• Hein..?

Sa voix étais soudain faible, comme si elle allais s'éteindre a tout moment.

• J'ai un cancer.

  Je...Je sais que ce n'étais qu'un coup d'un soir la dernière fois et que tu n'en as sûrement rien à faire, mais je voulais quand même te le di-

Je prend son visage trempé dans mes mains avant de l'embrasser tendrement, Shin glisse ses mains autour de ma taille tandis que j'entoure mes bras autour de son cou.

Je n'en es rien à faire qu'il sois malade ou non, nous allons surmonter ça, ensembles, ce que je sais, c'est que je suis amoureux de mon beau et stupide basketteur pseudo petit ami et qu'il es mon nouvel oxygène.

 

 

Mon cœur es une machine dont la clés es ton souffle.