• Need More III) Ce que je suis vraiment

    Heey nouveau chapitre fort en émotions et changements !

     

    Need more III) Ce que je suis vraiment

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Je décroche et entends la voix d'Hikari dans l'appareil, il à l'air anxieux,

    il commence à me parler sur un ton affoler et apeuré que je ne lui connaissait pas.

    • L...Luka...Je...J'ai vraiment besoin de te parler..

    • Que ce qui ce passe ?

    Lui répondis-je, inquiet de cet appel si soudain.

    Il sanglotais et respirais de plus en plus vite au fur et à mesure qu'il me parlais.

    • Je...Ils..

    • Calme toi et explique moi Hoku-...Hikari.

    • Je...Mes parents...

    • Que ce qui c'est passer ?

    • E..Ece que je peux venir chez toi ?

    • Hika, tu habite a 2h de chez moi...

    • Je viens de me faire jeter dehors par mes parents.

    • Attends...Je t'entends mal..

      Hikari ?

    • Mes vieux m'ont mis à la porte !!

    Je me pince la lèvre, ce que je fais toujours en cas de stresse.

    Tous le monde n'as pas des parents tolérants, ce que je ne comprends pas et ne comprendrais jamais, ou plutôt que je refuse de comprendre.

    • Il faut que je te dises quelque chose...

      Luka..Si je t'appelles toi c'est car j'ai toute confiance en toi et je t'aime beaucoup malgré la distance et le peu de temps que l'on ce parle,

      Toi, moi, nos délires, tes rires...

      J'aurais tout fait pour les entendre en vrai ces rires,

      car je suis divisé, je ne suis qu'un tas de cendre dont le feu c'est consumer il y a bien longtemps,

      moi aussi j'ai mes problèmes et si je me suis fait virer de chez moi, c'est car j'ai dit à mes parents que je t'aimais, toi, un garçon.

      Tu es l'allumette qui pourrais faire repartir le feu,

      tu me ravives, m'embellis et détruit le minable que je suis pour me hisser au sommet, Luka Takagi, je t'aime.

    Je me retient de lâcher le téléphone sur le coup, ce qu'il me dis es beaucoup trop direct pour moi le petit dépressif précieux et incroyablement désagréable.

    Je ne trouve qu'une seule chose à faire, je raccroche, je raccroche toujours face à l’adversité.

    Je raccroche toujours face aux problèmes de la vie pour ne pas avoir à les confrontés.

    Depuis que je suis tout petit, je raccroche, je ne trouve que cela à faire, je ne pense qu'a moi, je laisse les autres tomber, je déteste cet aspect de moi, cet aspect qui me fais me sentir comme un lâche, ce que je suis vraiment.

     

    Cours d'école , Tokyo, 5 décembre 1997

     

    Il neige, tout es blanc, seul un enfant es assis sur les marches de l'infirmerie, il ne dis

    rien, il n'a pas mal, mais il attend.

    Quoi me direz vous...

    Et bien, il attend que le temps passe.

    En attendant, il observe.

    Il observe ses gentils camarades réalisés tous ensembles un joli bonhomme de neige.

    Mais lui es à l'écart, il frotte ses petites mains pour ne pas avoir trop froid,

    il observe et il réfléchit, il pense à sa maman et à son papa qui ce disputes,

    à la bouteille de verre que ce dernier a éclater contre le mur l'autre soir, au visage effrayer de maman, lui hurlant de ne pas le touchez en le serrant dans ses bras.

    De la violence du premier coup qui a atteint la mâchoire de maman et au liquide rougeâtre qui a commencer à couler le long de sa lèvre puis de son menton.

    Puis s'en es suivit les coups, papa a retiré sa ceinture, il savais à quoi s'attendre, il étais habituer depuis, alors il c'est retourner, à vite cacher son visage pour que les coups reste invisibles et a prier Dieu pour ne pas avoir trop mal, comme d'habitude, Dieu ne l'a pas entendus.

    Il aurais voulût avoir des ailes pour s'envoler, et être assez fort pour le tuer,

    qu'il les laisses tranquilles

    maman et lui.

    Mais il n'est ni grand, ni libre, ni fort.

    C'est juste un petit garçon pas vraiment comme les autres.

    Il met la tête dans ses bras et répète une formule magique que maman lui a apprise pour faire sortir toutes ces images désagréables de son esprit, seulement, sa douleur dans le dos perdure, et viendras un temps ou la maîtresse ne croiras plus aux chutes en vélos.

    Alors il sent tout d'un coup une petite main contre la sienne, il relève la tête et aperçois un garçon de son âge, tout souriant.

    Ce garçon es heureux, lui, il a une famille heureuse et des jouets rien que pour lui, il a de bonnes notes et un gentil grand frère...Ce garçon; il le déteste.

    Il va certainement ce moquer de lui, le blâmer, lui dire qu'il mérite ce qu'il lui arrive..

    à sa grande surprise, le garçon ne fait rien de tout cela.

    Il le prend par la main en souriant puis le regarde de ses yeux verts.

    • Pourquoi es tu seul ?

    • ...Je pense...

    • Ho...

    Il prend place à coter de l'enfant malheureux puis lui lance un sourire radieux qui

    fait rougir son nouvel ami.

    • Réfléchissons ensembles alors !

    Lance-t-il en riant

    • On ne réfléchit pas à deux..

    • Moi je réfléchit avec toi !

    • Si tu veux... Dis t-il en soupirant.

    • Tu sais, tu devrais venir jouer, on s'amuse bien !

    • Si tu t'amuses bien retourne y, tu n'as pas besoin de moi.

    • Bah nan...

    • Pourquoi ? Murmures-t-il, intrigué.

    • C'est quoi ton nom ?

    • Shitara Hiroki et toi ?

    • Takagi Luka !

      Je peux t'appeler Hiro ?!

    • Non.

    • S'teuplaiiis...

    • J'ai dis non.

    • Tu es mon nouvel ami !

    • Si tu veux.

    Le petit aux yeux couleur émeraude déposa un baiser sur la joue de son camarade avant de sourire puis lancer d'un air amusé.

    • C'est comme ça qu'on dit au revoir a l'étranger !

    L'autre enfant rougissais comme jamais puis il lui souris et le regardas courir vers les autres enfants en riants.

     

     

    C'est le seul instant ou je n'ai pas pensé qu'a moi de toute ma vie.

    Et c'est aussi à ce moment là que Shitara Hiroki es tomber amoureux de moi.

     

    Je regarde Shin dans les yeux avant de commencer à pleurer comme une madeleine et me jeter a son coup pour l'embrasser fougueusement.

     

     

     

    Je ne veux plus être seul.


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